Dorothée « Je rêve d’adopter un enfant, mais mon métier m’en empêche » Dorothée propose 26 heures d’émissions hebdomadaires sur TF1, a sorti 14 albums en 12 ans (14 millions de disques vendus), anime un journal mensuel pour 150 000 lecteurs et revient à Bercy du 15 au 26 janvier, elle nous ouvre les portes de son hôtel particulier de Gentilly, en compagnie de ses filleules.
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Dans la salle à manger,le rituel du gouter.
Pourquoi ne vous êtes-vous jamais mariée ? Le travail ne vous mettrait-il pas moins en danger que l’amour ? C’est mon jardin secret. Avec vous, on a l’impression que « tout le monde il est beau, il est gentil ». Et si ce n’était qu’une façade pour ne pas décevoir ceux qui vous ont mise en haut de l’affiche ? Il y a des méchants, des odieux, mais, ceux-là, je refuse de les voir. Autant être positif, s’attacher au bon côté des êtres. Vous faites de la télévision depuis 20 ans. N’êtes-vous pas un peu lassée ? Pas encore. Le jour où j’en aurai marre, je m’arrêterai. Quand ? Je n’en sais rien. Pour faire quoi ? Je l’ignore. Je n’ai jamais vu plus loin que le bout de mon nez. Je suis une cigale.
Grande partie du jeu des sept familles.
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Vous avez dit un jour : « Je n’ai pas d’ambition. »
Peut-on réussir dans la vie sans être ambitieux ? « Ambition » est un mot que je n’aime pas. Cela veut dire être prêt à tout pour réussir, ne rien respecter. Moi, j’essaie seulement de bien faire mon travail. Je n’ai pas de plan de carrière. Je saisis la chance et l’occasion. Il paraît que vous n’êtes pas une femme d’affaires ? C’est vrai. Souvent, ma banque me téléphone pour m’annoncer que je vais être à découvert. Pourtant, je n’ai aucun luxe. Je n’achète ni œuvres d’art ni meubles coûteux. Je conduis une Mini. Mon seul luxe est de savoir que je peux inviter mes amis au restaurant quand je veux et leur offrir des cadeaux. Que répondez-vous à vos détracteurs ? Si la critique est justifiée, je m’incline. Si elle est gratuite, j’essaie de l’oublier. Je n’en fais pas un monde, car il paraît que c’est la rançon du succès.
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